Recruter un chirurgien-dentiste en 2025, ce n’est plus simplement une affaire de contrat et de rétrocession. Ce n’est plus une ligne dans un agenda, ni une formalité RH. C’est un enjeu stratégique. Et pour certains établissements, une question de survie.
La tension sur le marché est bien réelle : le nombre de dentistes ne suit pas la croissance des besoins, les profils disponibles sont très sollicités, et leurs attentes ont considérablement évolué. Résultat : de nombreux centres ou cabinets publient des annonces, passent des heures au téléphone, organisent des entretiens… sans succès.
Mais alors, comment font ceux qui réussissent à recruter ?
Et surtout : comment pouvez-vous, vous aussi, sortir du lot ?
Le marché a changé, mais trop peu de recruteurs ont réellement adapté leur approche. Pour recruter aujourd’hui, il faut comprendre le point de vue du dentiste.
Parce qu’avant de rejoindre une structure, il va se poser une série de questions précises. Et s’il ne trouve pas les réponses dans votre discours… il passera son chemin.
En résumé : les dentistes veulent exercer leur métier dans de bonnes conditions, sans stress inutile. Ce sont ces critères-là qui déclenchent une décision, pas uniquement le montant de la rétro.
L’une des premières étapes d’un recrutement réussi, c’est de proposer le bon cadre contractuel en fonction du profil que vous ciblez et du type de structure que vous dirigez.
Très courant en centre de santé ou en clinique, le contrat salarié séduit surtout :
Mais attention : proposer un CDI ne suffit pas. Il faut aussi :
Le salariat attire, à condition qu’il ne cache pas une pression commerciale déguisée.
C’est le format historique des cabinets. Il attire :
Mais pour qu’une collaboration fonctionne, il faut :
Un cabinet qui propose une collaboration sans accompagnement, sans rétro progressive, ou sans vraie structure d’accueil a peu de chances de fidéliser.
Souvent vu comme un “plan B”, le remplacement est en réalité un levier puissant. Il permet :
C’est souvent le point d’entrée naturel vers une collaboration ou un CDI, si le courant passe. Et cela rassure autant le praticien… que le recruteur.
Aujourd’hui, publier une offre d’emploi générique, c’est comme jeter une bouteille à la mer. Pour capter l’attention d’un bon dentiste, il faut structurer son discours avec précision.
Objectif : que le praticien puisse se projeter en 30 secondes.
Et surtout, n’oubliez pas de soigner le ton : humain, professionnel, chaleureux.
Pas de jargon RH ou de formule toute faite.
Même des centres très sérieux ratent des recrutements à cause d’erreurs simples.
→ Mauvais timing = recrutement dans l’urgence = mauvais match.
Commencez toujours les démarches 3 à 6 mois en avance.
→ “Centre dynamique cherche dentiste motivé” = 0 réponse qualifiée.
Soyez précis, détaillé, honnête.
→ Un bon onboarding fait toute la différence.
Pensez au planning d’accueil, aux formations internes, à la communication avec l’équipe.
→ Un praticien qui se sent “survendu” partira vite.
Mieux vaut une offre juste, bien présentée, qu’une promesse difficile à tenir.
Après des centaines de mises en relation chez Mediness, voici ce qui fait la différence dans 80 % des cas :
Un dentiste ne veut pas juste un poste. Il veut savoir avec qui, pourquoi et comment il va exercer.
Vous n’avez ni le temps, ni l’énergie, ni forcément l’expertise pour organiser un recrutement de A à Z ? C’est normal. C’est notre métier.
Chez Mediness, on vous aide à :
Le tout, avec un ton professionnel, une vraie réactivité, et une connaissance fine du terrain.
Parlez-nous de votre projet. On vous trouve le bon praticien, pas juste un CV.
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